Musical (1973)


Musique: Claude-Michel Schonberg • Raymont Jeannot
Paroles: Alain Boublil • Jean Max-Rivière
Livret: Alain Boublil • Claude-Michel Schonberg

Les comédies musicales françaises.... !!!! Malgré ce que certains pourraient croire, le premier grand succès n'est pas Notre-Dame de Paris en 1998. Il y a avait déjà bien sûr eu le phénomène Starmania en 1978-79 (puis 1988 puis 1993) dont la plupart des chansons sont devenues des tubes qui sont encore sur toutes les lèvres et dans tous les coeurs.

Mais il ne faut pas oublier quelques années auparavant... Il y avait eu un autre phénomène d'ampleur comparable, même si un peu oublié depuis: Le concept-album La Révolution Française, en 1973.
Et juste pour parler d'une époque où tout était possible: parmi les interprètes de la Révolution Française, on remarque, entre autres, le groupe pop Martin Circus, un débutant qui s'appelle Alain Bashung dans le rôle de Robespierre et un autre nommé Daniel Balavoine parmi les Choristes !

Origine et Jeunesse


Sa famille affirmait descendre d'Adalbert, comte de Périgord et vassal d'Hugues Capet en 990. Dans tous les cas, il est issu d'une famille de la haute noblesse, ce qui est attesté par lettres patentes royales de 1613 et 1735. Ses parents occupent des charges importantes durant le règne de Louis XV. Il est le neveu d'Alexandre Angélique de Talleyrand-Périgord (1736-1821), successivement archevêque de Reims, cardinal et archevêque de Paris.

Il naît le 2 février 1754, rue Garancière, à Paris.

Selon les biographes, il serait atteint du syndrome de Marfan (maladie génétique) ou victime d'une chute à l'âge de quatre ans (la version de ses mémoires): Talleyrand possède un pied-bot. Cette infirmité lui vaut de ne pas pouvoir accéder aux fonctions militaires et d'être destitué de son droit d'aînesse par ses parents qui le destinent à une carrière ecclésiastique.

Ceci explique le choix du discours de Mirabeau sur l'égalité de répartition des patrimoines et donc la suppression du droit d'aînesse, lors d'un hommage que Talleyrand lui rendra le jour de sa mort, à la tribune de l'assemblée.

Carrière ecclésiastique


En 1769, à l'âge de quinze ans, il entre au séminaire Saint-Sulpice. Malgré cela, durant cette période, il fréquente de façon ostentatoire une actrice de la Comédie française.

Le 28 mai 1774, il reçoit les ordres mineurs. Le 22 septembre 1774, il obtient un baccalauréat en théologie à la Sorbonne, acquise grâce à sa naissance plutôt qu'à son travail : son directeur de thèse de la Sorbonne, M. Mannay, rédige sa thèse, au moins en partie. À 21 ans, le 1er avril 1775, il reçoit les premiers ordres. Le 11 juin 1775, il assiste au sacre de Louis XVI, dont le coadjuteur de l'évêque n'est autre que son oncle. Au printemps 1778, il rend visite à Voltaire. Le 18 décembre 1779, au matin de son ordination, son ami le duc de Choiseul le découvre prostré et en pleurs. Ce dernier insiste pour qu'il renonce mais il lui répond : « non, il est trop tard, il n'y a plus à reculer. » Aucun membre de sa famille n'est présent pour l'ordination, mais ses parents viennent à sa première messe. Il a 26 ans.

En 1780, il devient agent général du clergé de France et est chargé de défendre les biens de l'Église face aux besoins d'argent de Louis XVI (particulièrement en 1785). À cette occasion, il prend connaissance de l'étendue exacte de la richesse du clergé.

À cause de sa vie dissolue et libertine (au grand jour, il joue, a de nombreuses maîtresses, etc.), il est déçu dans ses espoirs d'obtenir un évêché, du fait des opinions morales du roi et de la reine. Ses goûts du luxe et du jeu lui demandent beaucoup d'argent. De 1783 à 1792, Talleyrand a, entre autres, pour maîtresse la comtesse Adélaïde de Flahaut, qui, au grand jour, lui donne un enfant en 1785, le fameux Charles de Flahaut. Il fréquente et anime les salons libéraux proches des Orléans. En 1788, il est nommé évêque d'Autun par le roi, grâce à la requête que son père mourant avait adressée à Louis XVI («cela le corrigera», aura déclaré ce dernier en signant). Trois semaines plus tard, il est élu député du clergé aux États généraux et quitte aussitôt et définitivement la ville d'Autun.

Révolution


Le 14 juillet 1789, Talleyrand est nommé membre du comité de constitution de l'Assemblée Nationale où il joue un rôle très important. Il est d'ailleurs signataire de la constitution présentée au roi et acceptée par celui-ci le 14 septembre 1791; il est l'auteur de l'article VI de la déclaration des droits de l'Homme qui lui sert de préambule : «La loi est l'expression de la volonté générale. [...] Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse [...]».

Le 14 juillet 1790, il célèbre la messe qui a lieu sur le Champ de Mars lors de la Fête de la Fédération. Il suggère et participe activement à la confiscation des biens de l'Église par la Révolution en 1790. C'est la principale accusation de trahison qui lui est portée. En 1791, il prête serment à la constitution civile du clergé bien qu'ayant démissionné de son poste d'évêque, le 13 janvier de la même année. Il est chargé de sacrer les deux premiers évêques constitutionnels, aussi appelés «talleyrandistes».

En 1792, Talleyrand est envoyé en mission diplomatique à Londres avec François Bernard Chauvelin afin de rassurer la monarchie britannique sur la politique française. En dépit de l'atmosphère hostile, ils obtiennent la neutralité des Britanniques. Il revient en juillet, et, anticipant la Terreur, repart rapidement muni d'un ordre de mission arraché à Danton, ce qui lui permet de prétendre qu'il n'a pas émigré. Il est cependant porté sur la liste des émigrés.

Expulsé de Grande-Bretagne en 1794, il part aux États-Unis, où il exerce le métier de prospecteur immobilier dans les forêts du Massachusetts, puis celui de courtier en marchandises. Il rentre en l'an IV (1796) à la suite de la levée du décret d'accusation de la Convention à son encontre, Benjamin Constant ayant fait un discours en ce sens. Il est rayé de la liste des émigrés.

Suite à son exil il publie deux essais intitulés respectivement : Essai sur les Avantages à retirer des colonies nouvelles; Mémoire sur les relations commerciales des États-Unis avec l'Angleterre.

Directoire


En l'an V (1797), Madame de Staël intercède en sa faveur auprès de Barras et lui obtient le ministère des relations extérieures, en remplacement de Charles Delacroix.

Il y a un doute sur la paternité d'Eugène Delacroix qui, selon ses contemporains et certains historiens, aurait pour père Talleyrand, qui est alors l'amant de madame Delacroix. Il est à noter qu'Eugène Delacroix avait une certaine ressemblance, semble-t-il, avec Talleyrand. D'autre part Charles Delacroix souffrait d'une tumeur aux testicules.

Talleyrand rencontre, peu après sa nomination, le jeune général Bonaparte revenant couvert de gloire de la campagne d'Italie et avec qui il entretient une correspondance active en raison de son poste. Il donne une fête somptueuse en son honneur en l'hôtel de Galliffet, où est installé le ministère. En l'an VIII (1799), il démissionne du ministère, se consacrant à la préparation du coup d'État du 18 Brumaire en rédigeant notamment la lettre de démission présentée à Barras.

Période napoléonienne


Après ce coup d'État, et avoir récupéré au passage environ trois millions de francs destinés à faciliter la démission de Barras, il retrouve son rôle de ministre et conclut les importants traités couronnant la politique conquérante de Bonaparte.

Les traités de Mortefontaine et de Lunéville sont conclus quasiment sans son intervention, le jeune Premier Consul ne laissant guère de place à d'autres pour mener la politique extérieure. Talleyrand ne s'en offusque pas et approuve même, dans leur ensemble, ces deux traités.

En l'an X (1801), suite à l'injonction d'épouser ou de quitter l'une de ses maîtresses, Talleyrand se marie avec Catherine Noël Worlee (ou Verlee), divorcée de Georges-François Grand, qu'il connaît depuis trois ans. C'est une native des Indes danoises, d'origine bretonne. Ses contemporains disent d'elle que «c'était la Belle et la Bête réunies en une seule personne». Il en a certainement une fille, née en 1799, déclarée de père inconnu, qu'il adopte en 1803 et mariera vers 1815 au baron Alexandre-Daniel de Talleyrand, son cousin germain.

La même année, il achète le château de Valençay, encore sur injonction de Bonaparte mais avec son aide financière, où il héberge plus tard les infants d'Espagne, prisonniers de l'empereur. Le domaine du château est d'environ 120 km², ce qui en fait l'un des plus grands domaines privés de l'époque. Talleyrand y séjourne régulièrement, en particulier avant et après ses cures thermales à Bourbon-l'Archambault.

En 1804, face à l'augmentation du nombre d'attentats perpétrés par des royalistes contre Bonaparte, Talleyrand joue un rôle (l'importance de l'implication des uns et des autres restant obscure) dans l'exécution du duc d'Enghien. Il est nommé grand chambellan le 11 juillet 1804 et assiste le 2 décembre 1804 au sacre de Napoléon.

En 1805, après la brillante campagne d'Autriche et l'écrasante défaite de Trafalgar, Talleyrand signe à contrecœur le traité de Presbourg, qu'il n'a pas rédigé.

En 1806, il est nommé prince de Bénévent, petite principauté confisquée au Pape. Le 12 juillet de cette même année il signe le traité créant la confédération du Rhin, toujours sur ordre de Napoléon. Amorçant la critique de la politique guerrière de celui-ci, il commence à communiquer des informations au tsar Alexandre Ier via son ami Dalberg. En 1807 il négocie et signe le traité de Tilsit et prend certainement la décision de démissionner de son poste de ministre au retour de Varsovie.

Talleyrand se détache peu à peu de l'empereur pour arriver à la rupture en 1809 où celui-ci l'accuse de trahison, suite à des rumeurs de complots avec Joseph Fouché. En 1813, il refuse le poste de ministre des relations extérieures que lui propose à nouveau l'empereur.

En 1814, profitant de la chute de l'Empire, il manœuvre habilement pour livrer Paris aux alliés et à Louis XVIII.

Première Restauration


En mars, les alliés entrent à Paris. Le 1er avril 1814, il est élu par le Sénat président du gouvernement provisoire. Il signe la convention d'armistice avec les alliés et installe Louis XVIII sur le trône, lequel le nomme au ministère des Affaires Étrangères.

Le 16 septembre 1814 a lieu le congrès de Vienne, et, bien que la France ne soit pas admise à la table des négociations, Talleyrand réussit à y participer. Il en signe l'acte final le 9 juin 1815 et réussit, en faisant jouer les nombreuses divisions alliées, à limiter les sanctions à l'encontre de la France et même à fortement influencer des décisions ayant plus trait à l'équilibre européen qu'à la France. Il ne trahit pas Louis XVIII pour Napoléon durant les Cent-Jours, déclarant : «C'est une question de semaines, il [Napoléon] sera vite usé.»

Poussé par les Ultras, Louis XVIII force Talleyrand à démissionner et le nomme grand chambellan de France le 24 septembre 1815.

Monarchie de Juillet


En juillet 1830, Louis-Philippe devient roi après la révolution des 27, 28 et 29 juillet qui chasse Charles X. Il nomme alors Talleyrand ambassadeur à Londres, afin de rassurer les autres pays européens. Il contribue à l'indépendance de la Belgique et travaille à rapprocher le Royaume-Uni de la France, jusqu'en août 1834. Il quitte alors la scène publique et se retire dans son château de Valençay.

En 1837, il quitta Valençay, retournant s'installer dans son hôtel particulier de Saint Florentin (actuellement dépendance de l'ambassade des États-Unis). L'approche de la mort le jetait dans un grand embarras. Refuser les sacrements, c'était donner bien de la joie aux ennemis de l'ordre et peut-être provoquer des troubles dont il ne voulait absolument pas; c'était en outre jeter une suspicion supplémentaire sur la validité de la consécration épiscopale qu'avait reçue le clergé constitutionnel, puisque c'était lui qui était à l'origine. D'un autre côté il ne s'imaginait pas repentant et menant la vie d'un dévot pendant son restant d'existence. Il se tira fort bien de l'affaire qui fut ainsi son dernier succès diplomatique.

C'est seulement quand il sentit qu'il n'avait que peu à vivre qu'il consentit à recevoir le jeune abbé Dupanloup et à s'entretenir avec lui, mais ce n'est que quatre heures avant sa mort qu'il accepta enfin de signer la rétractation demandée, et dont il avait mesuré tous les termes, et de recevoir extrême-onction et viatique. Au moment où le prêtre devait, conformément au rite, oindre ses mains avec le saint-chrême, il n'oublia pas de lui dire: «N'oubliez pas que je suis évêque» (car on devait en pareil cas l'oindre sur le revers des mains et non sur les paumes). Le fin renard savait qu'en s'exécutant l'abbé Dupanloup reconnaissait ainsi au nom de l'Église la qualité épiscopale du moribond et validait par là les consécrations qu'il avait faites. Il ne lui restait qu'à mourir, ce qu'il fit, ayant réussi selon le mot de Renan «à tromper le monde et le Ciel». Des funérailles officielles et religieuses furent célébrées le 22 mai. Il est enterré dans une chapelle proche du château de Valençay, où son corps fut ramené le 5 septembre.

La plaque de marbre qui recouvre le cercueil, situé dans la crypte de la chapelle où sont enterrés d'autres membres de la famille Talleyrand, porte l'inscription suivante : «Ici repose le corps de Charles-Maurice de Talleyrand Périgord, prince duc de Talleyrand, duc de Dino, né à Paris le 2 février 1754, mort dans la même ville le 17 mai 1838.»

Regards contemporains et postérité


Gustave Flaubert: «Talleyrand (Prince de) : s'indigner contre » (Dictionnaire des idées reçues)

Honoré de Balzac : «Certain prince qui n'est manchot que du pied, que je regarde comme un politique de génie et dont le nom grandira dans l'histoire»

Alphonse de Lamartine: «L'opulence, pour M. de Talleyrand était autant une politique qu'une élégance de sa vie»

George Sand: «Une exception de la nature, une monstruosité si rare que le genre humain, tout en le méprisant, l'a contemplé avec une imbécile admiration.»

Napoléon: «De la merde dans un bas de soie». (Après la rupture suite au complot) auquel Talleyrand dira "dommage qu'un si grand homme soit si mal élevé"

Talleyrand était surnommé «le diable boiteux» en raison de son infirmité et par la haine que lui vouaient certains de ses ennemis, en particulier au sein des factions : «ultras » (pour qui il était un révolutionnaire), Église catholique (qui se souvenait de la confiscation des biens de l'Église), jacobins (pour qui il était un traître à la Révolution), bonapartistes (qui lui reprochaient la « trahison d'Erfurt »), etc.

Plusieurs mémorialistes, comme Joseph Fouché ou encore François-René de Chateaubriand, expriment dans leurs ouvrages tout le mal qu'il pensent de lui. Ainsi, une anectode circule à l'époque selon laquelle Louis-Philippe était venu le voir sur son lit de mort. Talleyrand lui aurait dit «Sire, je souffre comme un damné». «Déjà!» aurait murmuré le roi. L’anecdote est invraisemblable mais elle a couru très tôt; elle rappelle ce mot par lequel le Diable aurait accueilli Talleyrand en enfer: «Prince, vous avez dépassé mes instructions. »

Le Xxe siècle a vu, dans l'ensemble, une «réhabilitation» de Talleyrand, en particulier par ses nombreux biographes, qui, en général, ont vu une continuité dans la vie du personnage, en tant que serviteur de «la France».

Citations



  • « Dans les temps de révolutions, on ne trouve d'habileté que dans la hardiesse, et de grandeur que dans l'exagération.»

  • « Il croit qu'il devient sourd parce qu'il n'entend plus parler de lui. »

  • « Il y a quelqu'un qui a plus d'esprit que Voltaire, c'est tout le monde. »

  • « Il y a une chose plus terrible que la calomnie, c'est la vérité. »

  • « L'industrie ne fait qu'affaiblir la moralité nationale. Il faut que la France soit agricole. »

  • « Le mariage est une si belle chose qu'il faut y penser pendant toute sa vie. »

  • « Qui n'a pas vécu dans les années voisines de 1780 n'a pas connu le plaisir de vivre. »

  • « Soyez à leurs pieds. À leurs genoux... Mais jamais dans leur mains. »

  • « Voilà le commencement de la fin. »

  • « Les mots sont des épées. »

  • « En politique, ce qui est cru devient plus important que ce qui est vrai. »

  • « Nous appelons militaire tout ce qui n'est pas civil. » (à Paris en 1806)

  • « Les financiers ne font bien leurs affaires que lorsque l'État les fait mal. »

  • « Le meilleur auxiliaire d'un diplomate, c'est bien son cuisinier. »

  • « Qui n'a pas les moyens de ses ambitions en a tous les soucis. »

  • « Si les gens savaient par quels petits hommes ils sont gouvernés, ils se révolteraient vite.»

  • « La politique ce n'est qu'une certaine façon d'agiter le peuple avant de s'en servir. »

  • « Les hommes sont comme les statues, il faut les voir en face. »

  • « Café :
    Noir comme le diable
    Chaud comme l'enfer
    Pur comme un ange
    Doux comme l'amour. »

  • « Tout ce qui est excessif est insignifiant. »

  • « La vie serait supportable s'il n'y avait pas les plaisirs. »

  • « L'Angleterre a deux sauces et trois cents religions ; la France au contraire, a deux religions, mais plus de trois cents sauces. »

  • « Il y a trois sortes de savoir : le savoir proprement dit, le savoir-faire et le savoir-vivre ; les deux derniers dispensent assez bien du premier. »

  • « Les mécontents, ce sont des pauvres qui réfléchissent. »

  • « Les femmes pardonnent parfois à celui qui brusque l'occasion, mais jamais à celui qui la manque. »

  • « Ce qui est, presque toujours, est fort peu de choses, toutes les fois que l'on ne pense pas que ce qui est produit ce qui sera. »

  • « L'esprit sert à tout, mais il ne mène à rien. »

  • « La vie intérieure seule peut remplacer toutes les chimères. »

  • « Un ministère qu'on soutient est un ministère qui tombe. »

  • « On ne croit qu'en ceux qui croient en eux. »

  • « Ne dites jamais du mal de vous ; vos amis en diront toujours assez. »

  • « La parole a été donnée à l'homme pour déguiser sa pensée. »

  • « Le meilleur moyen de renverser un gouvernement, c'est d'en faire partie. »

  • « On peut violer les lois sans qu'elles crient. »

  • « Là où tant d'hommes ont échoué, une femme peut réussir. »

  • « Je promets de bannir ce vice affreux ( le tabac ) , le jour ou on m’indiquera une seule vertu capable de faire rentrer , chaque année 120 millions dans les caisses de l’Etat. »

  • « Sire , la Russie a un peuple barbare et un prince civilisé et la France un peuple civilisé et un prince barbare (Au tsar en parlant de Napoléon). »

Au Congrès de Vienne :


  • « Si cela va sans dire, cela ira encore mieux en le disant. » (1814)

  • « Méfiez-vous du premier mouvement; il est toujours généreux. » (1815)

  • « "Oui" et "non" sont les mots les plus courts et les plus faciles à prononcer, et ceux qui demandent le plus d'examen. »

  • « Appuyez-vous toujours sur les principes, ils finiront bien par céder. »

  • « Madame, je n'ai jamais pondu d'œuf, mais je me sens plus qualifié qu'une poule de juger d'une omelette si elle est bonne ou mauvaise. »

  • « On peut tout faire avec des baïonnettes, sauf s’asseoir dessus. »


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